Devoucoux

Entre tradition et modernité

Un savoir-faire

Depuis 1985, au cœur du pays basque, les ateliers Devoucoux fabriquent des selles d’équitation haut de gamme faisant référence dans le monde entier. Avec l’ambition de procurer le meilleur confort du cheval, couplé au plaisir du cavalier.

Fondée au milieu des années 80, la société Devoucoux a connu un succès immédiat en lançant une selle facilitant les mouvements, procurant un lien parfait entre le cavalier et le cheval. Perfectionnistes dans l’âme, amateurs comme professionnels étaient comblés par ce modèle pionnier. La Biarritz, la Chiberta, la Makila : autant des modèles devenus mythiques à travers le monde depuis bientôt 40 ans. Plusieurs champions du monde et olympiques collaborent avec Devoucoux. La marque fabrique avec passion des équipements destinés à des cavaliers tout autant passionnés. « Nos selles sont présentes sur toutes les disciplines et nous sommes considérés comme la référence mondiale sur le concours complet (saut d’obstacles, cross (saut d’obstacles naturels) et dressage) » nous confie Max Granet, Directeur de la marque Devoucoux. Mais comment « nait » une selle ? Direction l’atelier !

        

Basée à Bidart (64), la société Devoucoux (LIM Group) fabrique et commercialise des selles haut de gamme depuis 1985. 

     

Au cœur du pays basque, les ateliers Devoucoux fabriquent des selles et accessoires d’équitation faisant référence dans le monde entier.

       

Pour présenter ses créations auprès des écuries et sur les festivals équestres, Devoucoux fait confiance à Mercedes-Benz depuis quinze ans.

    

La fabrication de ces selles haut de gamme repose sur le savoir-faire d’artisans passionnés par leur métier et formés en interne. 

       

Grâce à une technologie de découpe exclusive, les selles permettent une répartition idéale de la pression exercée par le sanglage et le poids du cavalier.

    

Cette alliance de tradition et de modernité est la clé pour aboutir à des selles associant élégance, technicité et confort. 

De nombreuses heures de travail 

La fabrication est essentiellement manuelle, une centaine de selles étant confectionnées à l’atelier de Bidart chaque semaine. Six grands métiers composent l’art des selliers harnacheurs : coupe, préparation, assemblage, montage, piqûre à la machine et piqûre à la main. Le fabricant basque sait marier artisanat et innovation. Avec, par exemple, l’emploi de cuir tanné végétal ou de liège pour certaines références. Il y a dix ans, la société a même inventé une machine numérique. Max Granet en dévoile quelques secrets : « Nous sommes au pays basque et elle a été dérivée des machines utilisées pour façonner les planches de surf ! ». Cet outil permet d’usiner et de sculpter les panneaux matelassés d’une manière extrêmement précise. Résultat : un contact parfait entre la selle et le cheval. Associé aux derniers logiciels de modélisation, ce système high tech* permet de concevoir les matelassures les plus abouties en termes de performance et de confort pour le cheval et son cavalier. « Cela illustre notre volonté de faire du sur-mesure afin d’obtenir un taillant personnalisé » commente Max, qui participe aussi activement la fabrication. Une fois les mesures prises sur le cheval, les panneaux de la selle sont conçus en 3D.  « Nous avons 12 000 références de fichiers 3D » se félicite-t-il. La parfaite symétrie procurée par cette technique numérique permet aussi, nous explique le responsable, de réduire la pénibilité des selliers-harnacheurs en supprimant quasiment l’étape du ponçage, source de nombreuses poussières. 

« Nous formons nous mêmes tout notre personnel dans notre atelier » insiste le dirigeant. Il nous indique que certains d’entre eux sont en reconversion professionnelle ; voire en changement de vie complet, tel cet ingénieur attiré par le travail du cuir, rencontré lors de notre visite.  « Trois ans sont nécessaires pour qu’un équipier devienne totalement autonome » précise notre guide d’un jour. Cette exigence se retrouva dans la qualité des produits : une selle peut durer vingt ans et n’aura besoin que d’une ou deux remises en état en cours de vie. En effet, le cuir finit par se patiner et les coutures devront à un moment donné être refaites sur quelques parties de la selle. 

30 selles dans le Vito

Fidèle à Mercedes-Benz depuis quinze ans, la société bidartare confie exclusivement des Vito à ses représentants. Ils sillonnent les écuries privées et écoles d’équitation de leur région, présentant et proposant à l’essai les produits de la marque. Ils se rendent aussi sur les compétitions, dont le fameux Jumping de Bordeaux. Ils parcourent en moyenne 80 000 kilomètres par an dans leur région. Leur Vito ? Un outil de travail des plus confortable. « Les sièges et l’insonorisation, notamment, sont plébiscités » résume M. Granet. Aménagés en conséquence, ils peuvent transporter jusqu’à 30 selles. Devoucoux vient de prendre livraison de 14 nouveaux Vito auprès du distributeur SPVI de Bayonne (Groupe CLIM). Clément Castet (directeur plaque Utilitaires du groupe) et Eric Larran, référent Utilitaires du groupe, se félicitent de cette success story** : « nos équipes commerciales et après-vente, qui jouent un rôle de conseil et d’accompagnement humain, sont au cœur de la fidélité des établissements Devoucoux. »